DANS LES CLIGNOTEMENTS
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DANS LES CLIGNOTEMENTS
C’est au moment où l’on tourne la tête
Et que les ombres s’estompent
De l’art au renouveau, de Bruegel à Vermeer
Au moment ou, le regard de ceux
Que l’on découvre à peine, si peu
Accompagne notre mouvement
De résignation, de retrait et d’effacement
Jusque dans le scintillement
De la housse à prophète
Entre sacré et tradition, la résurgence obsolète
Des particules mystiques qui t’accompagneront
Là où les regards s’accrochent
Dans une fixité instantanée au-delà
La densité de l’épaisseur humaine
Surtout ne pleure pas
Malgré le bleu tremblant de l’iris
Et les phrases qui touchent
Toujours les stries qui s’interposent
Entre nous et cette vision du monde
Pixelisée jusqu’à l’absurde de cette netteté
Elle porte une rose sur son bras
Et cette rose, elle, porte le monde
C’est lorsque tout tangue si fortement
Que les formes tronquées vivement
Qui semblaient instables
Finissent par s’équilibrer
Après la zone de forte perturbation
C’est l’élément le plus émouvant
Le plus déformable qui reste à l’équilibre
Juste avant le dernier coucher dans le ricochet
Du bruit qui s’étale dans l’aube du silence
Absolument incliné quand l’air frais agonise.
Et l’apparence de la rose
S’allonge sans fin
Et que les ombres s’estompent
De l’art au renouveau, de Bruegel à Vermeer
Au moment ou, le regard de ceux
Que l’on découvre à peine, si peu
Accompagne notre mouvement
De résignation, de retrait et d’effacement
Jusque dans le scintillement
De la housse à prophète
Entre sacré et tradition, la résurgence obsolète
Des particules mystiques qui t’accompagneront
Là où les regards s’accrochent
Dans une fixité instantanée au-delà
La densité de l’épaisseur humaine
Surtout ne pleure pas
Malgré le bleu tremblant de l’iris
Et les phrases qui touchent
Toujours les stries qui s’interposent
Entre nous et cette vision du monde
Pixelisée jusqu’à l’absurde de cette netteté
Elle porte une rose sur son bras
Et cette rose, elle, porte le monde
C’est lorsque tout tangue si fortement
Que les formes tronquées vivement
Qui semblaient instables
Finissent par s’équilibrer
Après la zone de forte perturbation
C’est l’élément le plus émouvant
Le plus déformable qui reste à l’équilibre
Juste avant le dernier coucher dans le ricochet
Du bruit qui s’étale dans l’aube du silence
Absolument incliné quand l’air frais agonise.
Et l’apparence de la rose
S’allonge sans fin
surfeur- Messages : 1466
Date d'inscription : 04/01/2011
Localisation : ITC In The Cage
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