Le sort d’un poète.

Le sort d’un poète.

Un rouge feu strident brûle ses entrailles
Ses flammes brûlantes lui collent à la peau
Son cœur cherche à cacher ce qu’en lui faille
Et pleure toutes ses larmes tel des gouttes d’eau.

Il ne se résigne au sort, à ce destin, à sa destiné
Au rôle que lui fait jouer sa douce poésie
À cet amour interdit qui dans son cœur est né
Au jour inattendu où il fut de toi saisi.

Tout amoureux dans sa passion a sa part
D’amour qui fait ses jours heureux
Comblé quant son cœur d’amour s’empare
D'immenses moments indescriptiblement chaleureux.

Mais lorsque la roue de la vie se dégonfle
Les jours sombrent, deviennent léthargie,
Les nuits en n’en plus finir s’essoufflent
Et dans des insomnies blanches se réfugient.

KB. 20.02.22