Attends moi Grenade je reviendrai un jour.
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Attends moi Grenade je reviendrai un jour.
Attends moi GRENADE, je reviendrai un jour.
Je reviendrai un jour te chanter le réconfort
Où j’ai domestiqué mon âme du bonheur requis,
Où j’ai purifié mon cœur malmené très fort
Lorsque ton amour m’avait alors tout pris.
Je reviendrai confiant démuni des peines
Laissées là où je fus, proscrites à jamais.
Je te rappellerai ô toi qui fut bien ma reine
Les cris de mes nuits qui tel un fou t’hélais.
Je te raconterai lorsque je reviendrai à mon retour
Comment de ton fol amour je ne fus pas guéri
Oui de ce fléau immense qu’on appelle Amour
Où mon âme aimée avait alors périe.
Je te raconterai un jour la chasteté du temps
Qui m’avait privé sans fin des moments chéris,
Lorsque ton Envie, qui m’a déshérité longtemps
Avait cédé sa place à la frustration de mon beau pays.
Je reviendrai un jour te rechanter mes vers
Emportés avec moi dans le Pays Suspendu,
Je t’offrirai mon cœur devenu de nouveau vert
Je t’inviterai à croquer à Mon Fruit défendu.
Je te raconterai comment fut douce ma mort
Comment s’est éteint à jamais mon cœur,
Comment ton fol amour avait scellé son sort
Pour n'atteindre jamais de paisible Bonheur.
Je te raconterai lorsque ton nom fut dit en dernier
Après que ma chahada fut-elle prononcée
Comment mon cœur aimant s’est éteint le premier
Emportant avec lui tout ce qu’il a pu amassé:
Mes poèmes, nos souvenirs, l’immensité de ton amour
Toute cette sensation que tu m’as longtemps donnée
Le retour rêvé, les remords, l’écrit du troubadour
Qui avant l’heure prévue a vu son heure sonner.
Je te raconterai comment je t’aimerai encore
De cet amour criant où j’ai laissé ma peau
Je t’aimerai autant sinon encore plus fort
Même s’il faudrait encore que je retombe à l’eau !
Attends moi GRENADE, je reviendrai un jour.
Khalid Berrada
Je reviendrai un jour te chanter le réconfort
Où j’ai domestiqué mon âme du bonheur requis,
Où j’ai purifié mon cœur malmené très fort
Lorsque ton amour m’avait alors tout pris.
Je reviendrai confiant démuni des peines
Laissées là où je fus, proscrites à jamais.
Je te rappellerai ô toi qui fut bien ma reine
Les cris de mes nuits qui tel un fou t’hélais.
Je te raconterai lorsque je reviendrai à mon retour
Comment de ton fol amour je ne fus pas guéri
Oui de ce fléau immense qu’on appelle Amour
Où mon âme aimée avait alors périe.
Je te raconterai un jour la chasteté du temps
Qui m’avait privé sans fin des moments chéris,
Lorsque ton Envie, qui m’a déshérité longtemps
Avait cédé sa place à la frustration de mon beau pays.
Je reviendrai un jour te rechanter mes vers
Emportés avec moi dans le Pays Suspendu,
Je t’offrirai mon cœur devenu de nouveau vert
Je t’inviterai à croquer à Mon Fruit défendu.
Je te raconterai comment fut douce ma mort
Comment s’est éteint à jamais mon cœur,
Comment ton fol amour avait scellé son sort
Pour n'atteindre jamais de paisible Bonheur.
Je te raconterai lorsque ton nom fut dit en dernier
Après que ma chahada fut-elle prononcée
Comment mon cœur aimant s’est éteint le premier
Emportant avec lui tout ce qu’il a pu amassé:
Mes poèmes, nos souvenirs, l’immensité de ton amour
Toute cette sensation que tu m’as longtemps donnée
Le retour rêvé, les remords, l’écrit du troubadour
Qui avant l’heure prévue a vu son heure sonner.
Je te raconterai comment je t’aimerai encore
De cet amour criant où j’ai laissé ma peau
Je t’aimerai autant sinon encore plus fort
Même s’il faudrait encore que je retombe à l’eau !
Attends moi GRENADE, je reviendrai un jour.
Khalid Berrada
khalid berrada- Messages : 521
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 80
Localisation : Casablanca, Maroc
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