Poétiser à seize ans.
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Poétiser à seize ans.
Poétiser à seize ans.
Bizarre la vie et ses caprices
Qui fait de nous des martyrs
De l’écriture et de ses vices
Pour nous voir à ptit feu mourir.
Lorsque l’amour nous prend vif
À aimer jusqu’au délire
Nous restons toujours pensifs
À ce que nous devons écrire.
On revient au banc de l’école
Pour réapprendre à rédiger
Des poèmes à la clef de sol
Pour mieux être bien jugés.
On s’incarne en adolescent
Au milieu de ses seize ans
On s’amourache à cent pour cent
D’une personne que l'on aime tant.
On essaie d’être aussi plaisant
Pour paraître ce bel amoureux
Mais des fois on est malheureux
Au milieu de nos seize ans.
Des impositions d’écriture
Nous rendent un peu gauche
Lorsque nos fautes nous fauchent
Nous ramenant à nos seize ans.
On ne peut être un Molière
Ou un autre Chateaubriand
Pour être plus qu’eux brillant
Quand on a que seize ans.
L’inspiration va et vient
À la cadence du moment
Tel l’histoire de notre roman
Qui nous captive si bien.
On ne risque rien à attendre
Pour améliorer nos poèmes
D fois c’n’est pas c'qu'on aime
Mais on a encore à apprendre !
Le banc d’école nous rappelle
Pour améliorer nos écrits
Sans attendre que le prof crie
Ou nous fasse des yeux d’gazelle.
L’amour s’écrit en proses ou en vers
Pour ceux qu’on aime éperdument
On ne peut y échapper aux errements
Alors que notre cœur leur reste si cher.
Oui, la persévérance s’acquiert
Lorsque y a bonne inspiration
Mais on peut fauter à des moments
Tel qu'à certains de mes poèmes d’hier.
L’écriture est un don divin
Même si on est autodidacte
On y reste maître de nos actes
Dans le sérieux ou dans l‘anodin.
Mais qui dit que la soupe est froide, qu’il y mette sa main
Et que le mariage est facile, qu’il ne lui puise que son eau,
L’écriture des poèmes à seize ans n’était qu’un jeu de mot
Et sa nostalgie aujourd’hui n’est qu’un joli rappel malin.
Khalid Berrada
9 1 20.
Bizarre la vie et ses caprices
Qui fait de nous des martyrs
De l’écriture et de ses vices
Pour nous voir à ptit feu mourir.
Lorsque l’amour nous prend vif
À aimer jusqu’au délire
Nous restons toujours pensifs
À ce que nous devons écrire.
On revient au banc de l’école
Pour réapprendre à rédiger
Des poèmes à la clef de sol
Pour mieux être bien jugés.
On s’incarne en adolescent
Au milieu de ses seize ans
On s’amourache à cent pour cent
D’une personne que l'on aime tant.
On essaie d’être aussi plaisant
Pour paraître ce bel amoureux
Mais des fois on est malheureux
Au milieu de nos seize ans.
Des impositions d’écriture
Nous rendent un peu gauche
Lorsque nos fautes nous fauchent
Nous ramenant à nos seize ans.
On ne peut être un Molière
Ou un autre Chateaubriand
Pour être plus qu’eux brillant
Quand on a que seize ans.
L’inspiration va et vient
À la cadence du moment
Tel l’histoire de notre roman
Qui nous captive si bien.
On ne risque rien à attendre
Pour améliorer nos poèmes
D fois c’n’est pas c'qu'on aime
Mais on a encore à apprendre !
Le banc d’école nous rappelle
Pour améliorer nos écrits
Sans attendre que le prof crie
Ou nous fasse des yeux d’gazelle.
L’amour s’écrit en proses ou en vers
Pour ceux qu’on aime éperdument
On ne peut y échapper aux errements
Alors que notre cœur leur reste si cher.
Oui, la persévérance s’acquiert
Lorsque y a bonne inspiration
Mais on peut fauter à des moments
Tel qu'à certains de mes poèmes d’hier.
L’écriture est un don divin
Même si on est autodidacte
On y reste maître de nos actes
Dans le sérieux ou dans l‘anodin.
Mais qui dit que la soupe est froide, qu’il y mette sa main
Et que le mariage est facile, qu’il ne lui puise que son eau,
L’écriture des poèmes à seize ans n’était qu’un jeu de mot
Et sa nostalgie aujourd’hui n’est qu’un joli rappel malin.
Khalid Berrada
9 1 20.
khalid berrada- Messages : 521
Date d'inscription : 09/09/2009
Age : 80
Localisation : Casablanca, Maroc
Re: Poétiser à seize ans.
"On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans", écrivait Rimbaud.
Pierre J.
Pierre J.
Des mots s’enfuient chaque jour de mon cerveau. Le phénomène est fort heureusement, qu’il m’en arrive dans le même temps tout autant. Pierre James
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